C’est au brésil, au début du XIXème siècle que Mitsuyo Maeda, combattant japonais issu de l’école de Jigoro Kano, enseigna à Carlos Gracie le Kodokan.
Attiré par l’aspect réel du combat, Carlos adapta les techniques apprises par Maeda afin de répondre plus efficacement à la réalité de combat de rue. Il enchaîna alors les défis afin d’éprouver ses techniques et se fit la réputation au brésil de combattre tous ceux qui souhaiteraient de se mesurer à lui. Le Gracie Jiu-jitsu était né et la révolution était en marche.
Même de nos jours, cette partie « combat réel » divise toujours les pratiquants. Pour certains il s’agit d’un art martial alors que d’autres parlerons d’un sport régi par les règles de la compétition.
Une chose est certaine, même si la pratique de cet art martial est bien différente selon les objectifs de chacun, ce domaine est tellement vaste que chacun y trouve ce qu’il recherche.